Sarah confie sa détresse à l’AFP et ses propos raisonnent dans La Dépêche, Le Point, Ouest-France (1)… Dans l’affaire « du père et du fils », elle est l’une des 322 victimes pour lesquelles on a spécialement construit une salle d’audience dans la caserne du Muy à Marseille. Dix ans qu’elle attendait le procès et n’y croyait plus.
Les deux chirurgiens-dentistes, accusés de « violences volontaires ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente » et « escroquerie », prennent place sur le banc des prévenus, sous la huée et les insultes. On a rarement vu une image publique aussi délétère du dentiste cupide, du parvenu sacrifiant la santé de ceux qui lui ont fait confiance.
Les témoignages rapportés par la presse grand-public soulignent le rythme de travail irréaliste, sous-entendant la triche avec des journées de travail de 41 heures voire de 52 heures en moyenne ! « Le cabinet a effectué en trois…
Vous possédez déjà un compte ?
Pour lire la suite, devenez adhérent Les CDF.