La Société odontologique de Paris (SOP) organise une journée de formation à la Maison de la Chimie le jeudi 30 mars sur le thème « MIH deviendra grand ». L’enjeu : faire le point sur l’étiologie, l’épidémiologie et les traitements de l’hypominéralisation des molaires et incisives chez l’enfant… mais également chez l’adulte. Le Dr Romain Jacq, secrétaire général de la SOP, nous en dit plus.
CDF Mag : Quel est l’objectif de cette journée de formation ?
Romain Jacq : Cette formation de sept heures, dont je suis le responsable scientifique, s’intitule “MIH deviendra grand“ car si l’hypominéralisation des molaires et incisives (MIH, en anglais), généralement diagnostiquée entre 6 et 9 ans, est essentiellement traitée en odontologie pédiatrique, elle requiert bien souvent, une fois les patients devenus adultes, des soins esthétiques et prothétiques, avec un certain nombre de contraintes de prise en charge. L’objectif est donc de revenir sur l’étiologie, l’épidémiologie…
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