En cas de soucis de sécurité sanitaire avec un DMSM, c'est bien le chirurgien-dentiste-prescripteur, seul interlocuteur médical en contact avec le patient, qui peut juger de l'opportunité de faire une déclaration de matériovigilance.
En cas de soucis de sécurité sanitaire avec un DMSM, c'est bien le chirurgien-dentiste-prescripteur, seul interlocuteur médical en contact avec le patient, qui peut juger de l'opportunité de faire une déclaration de matériovigilance. Il doit donc être en possession de tous les éléments de traçabilité des matériaux constitutifs du DMSM, que le prothésiste doit lui transmettre systématiquement. Avant de déclarer l'incident ou l'accident, le chirurgien-dentiste doit se rapprocher du prothésiste afin de discuter du cas précis et vérifier l'exactitude des renseignements transmis, ainsi que la parfaite mise en œuvre des matériaux suspectés.