Députés et sénateurs sont parvenus, en commission mixte paritaire (CMP), à un accord sur une version commune du projet de loi santé porté par Agnès Buzyn. Celui-ci prévoit notamment la fin du numerus clausus et la création d’un espace numérique pour chaque individu.
Le Sénat et l’Assemblée nationale sont tombés d’accord, le 20 juin, sur une rédaction commune concernant le projet de loi relatif à l’organisation et à la transformation du système de santé. Celui-ci, pour mémoire, s’inscrit dans le cadre du plan « Ma Santé 2022 », présenté en septembre 2018 par Emmanuel Macron.
Sur le volet « formation », la nouvelle mouture confirme la suppression du numerus clausus dès la rentrée 2020 et la « diversification des voies d’accès à la deuxième ou la troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d’odontologie ou de…
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